Dans mon article précédent sur la voie royale de Gdańsk, je vous avais laissés au niveau de la Porte Verte … il est temps de continuer notre balade architecturale et culturelle dans le centre historique de la capitale de la Poméranie, nichée au bord de la mer Baltique. C’est une ville à voir si vous venez en Pologne, l’ambiance y est bien différente des villes plus continentales.
En sortant de la Porte Verte, tournez à gauche pour emprunter le long quai ….
Le long quai
Au côté sud du quai, un superbe gallion est amarré … il est possible de faire une croisière d’environ 45 minutes à bord, je n’ai pas testé mais une prochaine fois, pourquoi pas ? (compter environ 70 PLN pour l’aller-retour). Le bateau va à Westerplatte puis revient au long quai (départ à l’heure pile, toutes les heures de 9 h à 19 h). Il est possible de ne faire que l’aller (50 PLN) ; un guichet se trouve devant le bateau.
Sur cette photo, vous apercevez à droite le pont mobile qui permet de passer d’une rive à l’autre … il est d’ailleurs intéressant de le voir fonctionner, même s’il faut un peu de patience.
La première porte que l’on rencontre sur notre gauche est la porte du Pain (XVe siècle), qui s’ouvre sur la rue Chlebnicka ; hélas, comme vous le voyez, la jolie porte voûtée était envahie de présentoirs de souvenirs, quel dommage !!!!! 😠 On note les armoiries au sommet de l’arc, deux croix sans couronne, qui témoignent de l’attachement de la ville à l’Ordre teutonique à l’époque.
Les portes se succèdent le long du quai … elles permettent d’accéder du quai aux rues ou ruelles perpendiculaires à celui-ci.
Plus loin sur le quai, la grue médiévale en est la vedette, mais elle était en partie en rénovation quand je suis venue. Sa silhouette majestueuse et photogénique se repère de loin, et elle peut se vanter d’être la plus grande machine élévatoire portuaire d’Europe médiévale ; elle reste d’ailleurs aujourd’hui l’emblème de la ville. C’est depuis 1367 qu’elle charge et décharge des marchandises, la grue supérieure ayant été ajoutée plus tard, au XVIIe siècle (cela permettait de soulever des poids jusqu’à 2 tonnes, à la hauteur de 27 mètres). J’espère que les travaux seront bientôt terminés pour pouvoir la visiter !
Grue médiévale – Ul Szeroka 67/68 – billet combiné avec le Musée Maritime et le Centre Culturel
L’île aux greniers et l’île du plomb
Pendant cette promenade de l’autre côté du quai, on passe sur l’île du plomb avec les 3 greniers (Wyspa Olowianka) d’Oliwa, du Cuivre et de la Vierge … Ils devaient être assez similaires auparavant, mais après restauration / rénovation, finalement seul celui de droite semble rester authentique et assumer son âge ! A la période de l’apogée de Gdańsk, c’est sur ces îles que se concentrait presque toute l’activité commerciale. On y trouve maintenant le musée maritime, avec des expositions permanentes et temporaires, et la galerie Morska, pour voir des peintures marines. L’île aux greniers est longtemps restée un terrain vague après la guerre, et c’est une bonne chose de voir que même après tous ces bombardements la zone revit enfin.
Il est possible d’emprunter le petit ferry Motława (toutes les quinze minutes) pour passer sur l’autre rive, vers la grue médiévale.
C’est ici que vous pourrez faire une belle photo souvenir de votre séjour à Gdańsk, avec là encore d’anciens greniers rénovés en arrière-plan …
Sous mes pieds, je remarque cette plaque en bronze honorant le navire « S/Y KORSARZ » : j’ai appris plus tard qu’elle avait été fixée au sol à l’occasion d’une régate qui a eu lieu dans la marina de la ville en 2010, à laquelle participaient de nombreux bateaux et yachts anciens, pas seulement polonais mais aussi britanniques, écossais, danois … un beau souvenir incrusté dans les pavés.
et l’on découvre le vaisseau musée Sołdek, qui était un navire minéralier polonais, le premier vaisseau de haute-mer construit après la seconde guerre mondiale. A bord, on peut y voir l’histoire de sa construction, l’équipement du bateau et en apprendre beaucoup sur le quotidien des marins de l’époque (moitié du XXe siècle).
La vieille ville
La basilique Notre-Dame que vous verrez parfois mentionnée comme « église Sainte-Marie » … pour ne pas vous tromper, je vous indique son nom en polonais : Bazylika Mariacka ! Elle a la particularité d’être la plus grande église de Pologne … on la surnomme d’ailleurs « la couronne de la ville de Gdańsk » car elle domine le centre de la cité … et puisqu’on est dans les superlatifs, sachez qu’elle est numéro un sur le podium européen des églises construites en brique, avec sa surface de 4 900 m².
Elle fut bâtie par étapes, entre 1343 et 1502 … d’abord utilisée par les catholiques, puis par les protestants à partir de 1572 … avant de redevenir catholique en 1945.
Parmi les incontournables de Notre-Dame, les fonds baptismaux octogonaux de 1553 et cette madone qui se trouve dans la chapelle Sainte-Anne (c’est la troisième à gauche).
Son horloge astronomique, dans le transept Nord, est remarquablement décorée de personnages : les douze apôtres, les quatre évangélistes, les Rois mages et la Mort munie d’une faux. (je vous conseille de venir à midi, c’est là qu’ils s’animent et c’est assez spectaculaire). En haut, vous aurez reconnu Adam et Ève, autour de l’arbre de la Connaissance ; ce sont eux qui font sonner les cloches. Haute de 14 mètres, elle a été remise en état en 1993.
Le maître-autel, avec son retable de 1510 est magnifique … et dispendieux : il est en bois de tilleul, recouvert de feuilles d’or. Il montre le couronnement de la très sainte Vierge Marie.
Basilique Notre-Dame – Ul. Podkramarska 5 – horaires d’ouverture selon la saison – entrée : 2LN – visite guidée 4 PLN
Accolée au presbytère, la Chapelle Royale ne se visite hélas pas, il faudra vous contenter de sa superbe façade, au nord de la basilique. C’est le roi Jean III Sobieski qui a décidé de construire celle-ci, après que la municipalité eut refusé de restituer la cathédrale aux catholiques (en 1677). Conçue par le néerlandais Tylman Van Ganeren , elle est en forme de croix grecque, avec un dôme à lanternon. Je n’ai vu que des photos de son bel intérieur, qui est de style baroque. Profitez aussi du moment pour admirer la jolie fontaine aux quatre lions grandeur nature, qui se trouve juste devant. Elle fut installée en 2009, d’après un projet présenté par les artistes locales Ewa Koprowska et Lucyna Kujawa ; elle est symbolique puisque le lion était auparavant le symbole et le protecteur de Gdańsk. Normalement 22 jets d’eau fonctionnent sur cette fontaine, mais lors de mon passage elle était sèche et faisait la joie de plusieurs enfants.
J’ai choisi une de mes photographies de nuit pour vous montrer la rue Mariacka, qui est merveilleuse et pittoresque aussi de jour ! En version diurne, elle est plus animée, avec de nombreuses boutiques de souvenirs et magasins vendant de l’ambre. Son charme vient des perrons en pierre, enseignes et gargouilles, qu’on retrouve peu dans le reste de la ville.
Le grand bâtiment de l’armurerie (ou grand arsenal) (attention, le bâtiment n’a pas du tout la même allure d’un côté ou de l’autre … amusez-vous à voir les deux !) est le plus bel exemple de l’influence de la Renaissance flamande. Il a été dessiné en 1609 par l’architecte Antoni van Obbergen, et fut utilisé jusqu’au XIXe siècle.
A l’intérieur se déroulent maintenant des expositions artistiques, sculpture, peinture, car le bâtiment héberge l’Académie des Beaux Arts ; vous pouvez consulter le programme ici : https://en.asp.gda.pl/ . Voici la façade côté ouest, avec ses quatre pignons accolés, et une statue dite « du Cosaque » au centre.
A sa droite, vous pouvez voir la Tour de paille, un bastion défensif de 1346 qui faisait partie de la partie ouest des fortifications de la ville. Cet édifice octogonal, massif, a un toit conique et l’épaisseur des murs peut atteindre 4 mètres à sa base ! On peut voir que cette tour a aussi servi de poudrière ensuite … mais à l’heure actuelle, ce sont des salles de classe de l’Académie qui y ont été intégrées.
Voici l’autre face du Grand Arsenal, à l’est, côté rue Piwna (rue des brasseurs), et c’est ma favorite … toujours en briques rouges mais avec pas mal de doré aussi, qui lui confère son élégance et sa richesse ! En observant attentivement la photo, vous verrez une statue au centre, il s’agit de la déesse grecque Minerve ; juste en dessous, un puits un peu spécial : c’est de là qu’on remontait … les munitions ! Bien sûr, on repère aussi les armes de Gdańsk (au-dessus des portes).
Alors, quel côté préférez-vous ?
L’église Saint-Jean est une église gothique restaurée, car elle fut en effet détruite pendant la guerre. Regardez autour de l’édifice, vous verrez des pierres sculptées issues des ruines, et réunies là pour former un musée lapidaire.
Quant à l’église Saint-Nicolas, elle est aussi fort ancienne puisqu’elle date du XIVe siècle, construite sur les ruines d’un temple du XIIe siècle. De façon surprenante elle a prouvé sa solidité puisqu’elle fut quasiment épargnée par les bombardements de la seconde guerre mondiale. Sa particularité est d’avoir de très grandes ouvertures, ce qui était assez rare à l’époque de sa construction ; à l’intérieur, elle a gardé un décor rococo et baroque, avec des ornements dorés et des peintures décrivant la vie de Jésus, ainsi qu’un chandelier réalisé en 1617. Je n’ai pu hélas m’y attarder, car une messe s’y déroulait au moment de ma venue. Vous pouvez voir néanmoins sur la deuxième photographie le chandelier en question, car il est de bonne taille !!!
A côté de cette église se trouve la très belle Halle Targowa, sur la place Dominikański, qui fait office de marché couvert. L’intérieur a cependant assez peu d’intérêt architecturalement parlant, et ce sont essentiellement des boutiques de vêtements qui s’y trouvent, au rez-de-chaussée. Au sous-sol, cependant, ce sont des stands alimentaires qui sont installés, je vous montrerai ça dans un autre article. J’ai préféré flâner sur le côté, en plein air, et admirer les beaux bouquets des fleuristes, entre autres.
Face à cette halle, comment ne pas remarquer la tour Hyacinthe , de forme octogonale, construite à la fin du XVe siècle, qui est assez impressionnante ?
La vieille ville
C’est dans l’ancien Grand Moulin sur l’île de Radunia que se trouve depuis 2021 le fantastique musée de l’ambre (il était auparavant situé dans l’ancienne prison) ; avant cette installation, une galerie commerciale s’y trouvait. Cet dans cet imposant édifice, fondé en 1350 par les chevaliers Teutoniques, qu’on moulait grâce à ses 18 roues hydrauliques, près de 200 tonnes de céréales par jour. Hélas, un important incendie se produisit en 1945 et il ne fut reconstruit qu’en 1962.
A l’intérieur du moulin, on peut voir quelques grosses meules en pierre, d’origine. L’intérieur est assez sombre mais les vitrines d’exposition sont bien éclairées et mettent en valeur leur contenu.
Le premier niveau nous présente la matière dont il est question ici : l’ambre. Cette résine fossilisée sécrétée par des conifères ou des plantes à fleurs est utilisée depuis la préhistoire pour la fabrication de bijoux, ou même pour des vertus médicinales supposées.
Parfois découvert dans des gisements sous-marins dans la Baltique, qui sont là depuis 44 millions d’année, on en trouve beaucoup sur les rivages de la mer du même nom, qui sont les plus vastes et les plus connus en la matière. Comme vous le voyez sur la photo ci-dessous, l’ambre peut avoir des couleurs différentes, qui vont du jaune au noir en passant par le rouge, le bleu ou le blanc.
C’est donc au rez-de-chaussée qu’on découvre la partie que j’ai trouvée la plus fascinante : des morceaux d’ambre renfermant des végétaux ou des insectes, parfois mêmes des araignées, pris au piège par la résine qui a coulé.
A l’étage supérieur, non moins intéressant, c’est l’ambre travaillé par l’homme qui est exposé ; mine de rien, il occupe une place importante dans nos cultures. A travers les époques, on voit tous les objets imaginables : jeu d’échecs, boîtes précieuses, bijoux, pipes, … l’ambre ne s’est jamais démodé ! De nombreux créateurs contemporains l’utilisent de façon artistique au XXIe siècle.
Musée de l’ambre -Wielkie Młyny 16 – Horaires variables suivant les jours – fermé le mardi – Tarif plein : 20 PLN
⇒ Bon à savoir : l’entrée est gratuite le lundi ! (10 h à 18 h)
En sortant du musée, et en passant sur le canal, on remarque une ravissante maison : il s’agit de l’ancien siège de la corporation des meuniers … vous remarquerez qu’ici aussi les poseurs de cadenas de l’amour ont sévi sur la grille du pont !
Nos pas nous amènent sur un joli square où trône la statue de l’astronome Jan Heweliusz (ou Hevelius), moins célèbre peut-être que son compatriote Copernic, mais qui n’avait pas seulement la tête dans les étoiles : il était aussi brasseur, échevin et conseiller municipal ! On voit d’ailleurs à l’arrière-plan l’hôtel de ville, dont je vous parle juste un peu plus bas.
Comme promis, nous pénétrons dans l’hôtel de ville de la Vieille Ville (à ne pas confondre avec celui qui se trouve sur la voie royale) avec son élégante tourelle, typique du style flamand maniériste. Celui-ci a été transformé en QG pour les troupes soviétiques en 1945. Je monte les marches du superbe escalier en bois sculpté ….
et accède au premier étage, à la riche décoration ; là aussi, un autre escalier, en colimaçon … Le mur de la première salle est couvert de carreaux de Delft !
Les éléments décoratifs du XIXe qu’on peut voir ici proviennent parfois de maisons détruites ; la visite se fait assez rapidement car il n’y a que deux salles à voir.
Hôtel de ville de la Vieille Ville – Ul Korzenna 33/35 – Entrée libre
Nous repassons sur le canal de Radunia … et je prends le temps de prendre une autre photo des fameux cadenas sous un autre angle …
On l’aperçoit de loin, cette église Sainte-Brigitte ! Son clocher carré de briques est fort majestueux avec ses quatre tourelles aux angles, ne fut cependant rajouté qu’au XVIIe siècle ; l’ensemble du monument avait en effet été édifié en 1396 pour abriter la dépouille de la sainte, ramenée de Rome en 1374.
Elle fut réduite à l’état de ruines en 1945 mais heureusement reconstruite au début des années 1970. Même si vous n’appréciez pas trop la visite des églises, je vous conseille tout de même d’y aller, car cette église est unique : c’est là que Lech Wałęsa assistait à la messe, alors qu’il n’était encore qu’un électricien sur les chantiers navals voisins. D’ailleurs, le prêtre de cette église, Henryk Jankowski, soutenait les grévistes et relayait les message du syndicat Solidarność dans ses sermons. C’est maintenant un lieu de commémoration de cette lutte ouvrière, plusieurs oeuvres contemporaines à l’intérieur évoquant cet épisode de l’histoire de Gdańsk, ainsi que les bas-reliefs d’une des portes.
L’autre particularité de Sainte Brigitte, c’est ce monumental maître autel en ambre, d’environ 128 m², constitué de 6500 kilos de résine polie … c’est un record ! L’ostensoir mesure 1,74 mètre de haut, représente l’arbre de vie … c’est vraiment spectaculaire !
Voici deux photos prises de plus près, pour que vous vous rendiez compte du travail exceptionnel des artisans sur les éléments qui le constituent.
Egiise Sainte-Brigitte –ul Profesorska 17 – Tarif plein : 5 PNL
Bon à savoir ⇒ avant 10 h et après 18 h, il est possible de voir l’église gratuitement
Au sud du centre historique
A proximité immédiate de l’église Sainte-Trinité, dans un ancien monastère franciscain de style gothique tardif, se trouvent les collections du Musée National. Au rez-de-chaussée se trouvent plusieurs salles exposant des objets d’art décoratif, et j’étais ravie car il y a une grande collection de céramiques de Delft à voir, ainsi que de l’argenterie, et également des expositions temporaires.
La vedette du musée est incontestablement ce triptyque, que j’ai eu la chance de voir sans personne, un peu avant l’ouverture. Ce jugement dernier, peint par Hans Memling en 1471, représente à droite les damnés, aux visages grimaçants, qui tombent dans les flammes de l’enfer, tandis qu’à gauche, on voit les chanceux qui montent au paradis ! Sur la grande partie centrale, le Christ et l’archange Saint-Michel trient les âmes des morts. On peut faire le tour de la vitrine pour voir, au verso du tableau, on peut voir, agenouillés, le commanditaire Angelo Tani, un banquier florentin, et son épouse, Catarina di Francesco Tanagli.
L’histoire de ce tableau est assez incroyable … volé par un corsaire de Gdańsk alors qu’il était sur un bateau bourguignon, il ne fut pas rendu malgré les demandes du Pape et des Médicis … il fut ensuite volé par Napoléon, puis récupéré à Paris par les Prussiens. Les Nazis le cachèrent dans un abri, où l’Armée Rouge finit par le retrouver et le transférer à l’Ermitage. Tout ça pour dire qu’il ne fut rendu à Gdańsk qu’en 1956 !
Le premier étage est consacré à la gravure et à la peinture, et j’étais surprise de la quantité d’oeuvres de peintres flamands … mais c’est finalement logique, quand on connaît les relations étroites que Gdańsk a entretenues avec les Pays-Bas depuis très longtemps. Il y a notamment dans la collection deux Van Dyck et un petit Bruegel le Jeune.
On quitte le musée en empruntant le bel escalier de pierre et en appréciant la belle rénovation de ce monastère …
Musée national (muzeum Narodowe) – Ul. Toruńska 1 – ouvert de 11 h à 18 h – Fermé le lundi – Tarif plein : 15 PLN
Bon à savoir ⇒ l’entrée est gratuite le vendredi ! (sauf pour les expos temporaires)
Si vous cherchez un guide parlant bien français, je vous recommande Andrzej Falkowski, son site internet est ici, vous pouvez construire avec lui un programme en fonction de vos intérêts : https://www.omnibustourist.com.pl/fr/
Cet article fait suite à une invitation de l’Office National Polonais de Tourisme, mais je garde toute liberté éditoriale.
Office National Polonais de Tourisme
Site Web : https://www.pologne.travel/fr
Organisation Régionale du Tourisme de Poméranie PROT
Site Web : https://pomorskie.travel/en/
Office du Tourisme de Gdańsk
Site Web : https://visitgdansk.com/en/
5 réponses sur « Gdańsk, le long quai et la vieille ville »
que cette ville est belle …. et cet ambre, c’est juste magique !
Tes articles me donnent de plus en plus envie d’aller voir ce beau pays qu’est la Pologne ! Maintenant, quelle ville choisir à ton avis ?
ah ma chère Estelle, c’est impossible de répondre à ta question ! Pourquoi ne pas faire un petit road trip cet été pour voir une sélection de villes ? Tu peux déjà passer quelques jours depuis Varsovie explorer Cracovie (magnifique), Lodz et Katowice … et surveille bien le blog cette année, il y aura des surprises !
Merveilleuse Gdansk de mon enfance … merci pour ces souvenirs
Quelle architecture magnifique ! j’aimerais beaucoup y aller … manger des pierogi !